16 mars 2006
Le port de Kobe
Nulle trace du tremblement de terre qui dévasta cette charmante cité balnéaire en 1995.
Ici les grues permettent à l'homme de gagner du terrain sur les éléments. Non loin de là, on peut se balader sur le port, moderne et accueillant, et prendre un ginger ale sur une terrasse surplombant l'océan. Une petite brise grisante soulage de la chaleur ambiante.
Kobe, c'est le déterminisme, la vie qui coule doucement. Les grues sont aussi grises que la mer et le ciel. Je n'ai jamais pensé que l'homme et les éléments soient en guerre. Cet après-midi là, sous cet angle-là, ils paraissaient même étrangement réconciliés.
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